Ce modèle restera le modèle le plus réussi de Minardi. La voiture était motorisée par le moteur Ferrai V12 . Outre son moteur très puissant ~600ch, L'aérodynamique de la voiture était bien pensée avec des lignes fluides , et une très bonne maniabilité. A l'inverse de Ferrari la même année l'écurie ne connaitra que peu d'abandons moteur. Avec comme paire de pilote Martini et Morbidelli l'écurie Finira 7eme au championnat malgré 2 entrée seulement dans les points. Deux 4eme places tout de même,Toujours pour Martini un ton au dessus de son coéquipier. Si l'écurie marque autant de points qu'en 1989 (6pts) elle termine à une meilleure place au championnat.
La suite , 1992 sera un fiasco malheureusement, l'écurie ayant decider de laisser le moteur Ferrari pour Lamborghini.
Faisant partie d'une des plus petites écuries de 1991 Fondmetal se lance en F1 cette année là. La voiture est motorisée Par un moteur Hart-Cosworth de 625 ch à 12000TR/mn ex-Tyrrell. Le châssis est enfaite une modification du châssis Osella de 1990 déjà très lent . La saison commence par une grosse désillusion puisque la voiture ne passe même pas le stade des pré qualifications 5 fois d'affilé. De plus la voiture est dotée d'ue nouvelle boite Transversale 6 vitesses qui est loin d'être fiable. Au essais du grand prix de France la voiture passe en version B Grâce à l'aide d'un certain Richard Divila. C'est ainsi qu'au grand prix suivant à Mexico tout semble normal. Au essais libres le groupe de tête est composé de Patrese,Mansell,Senna,Alesi,Berger,Piquet,Prost... et en 8eme place Grouillard! Sur la Fondmetal. Un bon accomplie gigantesque , qui sera pareil en Qualification Puisque Qualifiée 10eme a 1s5 de la pole. Malheureusement la voiture ne tiendra que 15 tours avant d'abandonner. Si l'écurie ne marqua aucun point en 1991 elle finira 3 fois à la porte du top 10 .
Dernière édition par Hinata le Mer 7 Avr - 10:30, édité 1 fois
Peu être l'échec le plus retentissant de la F1. En faite , loin d'être la voiture la plus médiocre apparue en F1, C'est les espoirs irréalistes au possible de l'écurie qui la rendra si pitoyable. Originale dans sa livrée Moitier blanche et rouge , puis Bleu/jaune , alliance de 2 sponsors 555 et Lucky Strike. Elle est motorisée par un Supertec Ex-Mechachrome,ex-Renault Vieillissant. Si la voiture semble assez réussie aérodynamiquement , elle souffre d'un déficit énorme en Fiabilité. 16 abandons pour Zonta et Villeneuve en 16 courses , sans compter les accrochages et accident ,dont ceux très spectaculaire des deux pilotes à SPA.A noter la meilleure performance réalisé par le remplaçant de Zonta Mika Salo 7eme à Imola. Un comble . L'ambition d'être championne du monde dés sa première saison value une belle claque en fin de saison puisque l'écurie ne marqua aucun points et se paya le luxe de Finir derrière Minardi avec un budget 10 fois supérieur. Seul note positive en Espagne ou Villeneuve bien qualifié , tiendra la 3eme place longtemps avant de caler et abandonner au stand.
Issue d'une Alliance entre le motoriste Porsche revenu en F1 après d'innombrables succès notamment avec Mclaren et Lauda, et ses moteurs TAG-Porsche de plus de 1000ch. La FA12 si elle fût bien réalisé avec cet aileron avant caractérisé par son pillier central (qui sera repris en 1997 avec Tyrrel) sera handicapée par ce moteur. Le moteur Porsche , aussi puissant soit-il est un V12 pesant..200kilos! (60 de plus que la concurrence) Si sa puissance peu rattraper son poids il pose un sérieux soucis pour le châssis devenu peu maniable , si c'etait là son seul problème!..En effet en plus d'être lourd le moteur est pas fiable. Le début de saison est une catastrophe 1 voiture sur 2 voire aucune de qualifiée , un échec cuisant pourtant si prévisible.. Le point culminant arriva au Mexique, Footwork emmène 7 moteurs pour les essais et la course , sur les 7, 4 moteurs vont partir en fumé durant la première séance! Quand l'équipe parvenait à ce qualifier il va sans dire que le moteur ne tenait pas la distance de course. Sur 5 qualifications 5 abandons. Footwork remercia donc Porsche pour se tourner vers son vieux V8 Ford pour la fin de saison. La voiture Malheureusement n'était pas au point et il s'enchaina des non qualifications et prés qualifications à répétition. Il fallu attendre le dernier grand prix en Australie pour voir les 2 voitures rallier l'arrivée.
Bilan : FA12/FA12C : 18gp courrus :6 non prés-qualifications :10 non-qualifications :7abandons
1x10eme.( Japon)
Petite anecdote : : en 1992 l'écurie utilisa un moteur Mugen . La saison sera bien meilleure avec une petite particularité outres ces points marquées: la voiture finira 7 fois...7eme! Un peu rageant tout de même ^^
Aprés une saison 91 plus qu'honorable (1 podium,5points 8eme au championnat) L'écurie se lance dans la bataille en 92 avec une voiture légèrement revue et corrigée.Elle ressemble énormément au modèle 91( et surtout à une Ferrari). Les espoir sont de mise avec pour une fois , la première depuis 1988 ou Dallara aura un moteur digne , un moteur Ferrari. Malheureusement la voiture n'est pas aussi rapide et souffre de son aileron arrière.L'ecurie comme Minardi un an plus tôt souffre aussi de la difficulté pour gêrer le moteur Ferrari. Au début de la saison les résultats sont catastrophique, manque de fiabilité et voiture lent, souvent abonnée au fond de grille.L'arrivée d'un nouveau Moteur Ferrari semble mettre Dallara dans le droit chemin et les résultats reviennent.Par deux fois Martini rentre dans les points en terminant 6eme. La suite de la saison est moins rose et l'equipe s'enfonce dans le classement . Fin 1992 le partenariat Lucchini/Dallara prend fin et l'écurie disparait de la F1.
Cette voiture est une évolution du modèle 96, avec sa partie moteur très arrondie typique de 1997.Elle sera la seule arrows Arrows à recevoir le fameux n°1 sur le nez.Damon Hill qui lâchement mis à pied par Williams ayant accepté sans grand conviction (et peu être tout simplement sans autres choix) de rejoindre l'equipe, porte de grand espoir pour l'ecurie cette année là. La voiture est affinée sur la plan aero, tellement bien quelle souffre de ces appuis trop conséquents sur 3/4 de la saison.Mais là n'est pas tout, la voiture en plus d'être globalement ratée, est d'une fiabilité Catastrophique surtout en début de saison (8 abandons mécaniques en 5 courses et 2 accrochages.) Diniz le numéro 2 n'est bon qu'a apporter des sous malgrés les deux petits points marqués au Nurburgring. Le seul moment de bonheur , et encore , viendra en Hongrie, ou Hill se qualifie 3eme sur un circuit plutôt lent propice à sa voiture. Il fait un départ magnifique et prend la Tête en dépassant la Ferrari de Schumacher au 10eme tour, il le restera pendant toute la course jusqu'au dernier tour de la course, ou survient un soucis de boite de vitesse, la voiture reste bloquée en 4eme, il fini péniblement 2eme à 9s de Villeneuve.
