Le grand Webber is not dead ! Cela m'a fait plaisir ! Mais après, la course à Monaco est essentiellement un tourniquet sans fin, sans dépassement et de plus en plus souvent, sans grosses erreurs.
Ce qui m'a frappé, limite choqué, c'est d'entendre Hamilton dire après la course : si mon écurie m'avait dit que Vettel me passerait devant à l'arrêt aux stands, j'aurai accéléré...
Preuve que les pilotes -avec les Pirelli dégradables- ne roulent plus à fond. Cette époque est révolue, et c'est bien dommage.